Basse intensité, haut danger

Les guerres de basse intensité comme l’Irak, l’Afghanistan, la Palestine ne sont pas seulement dangereuses pour les populations qui les subissent, elles sont aussi (oserai-je dire “surtout”) dangereuse pour nous… nous TOUS.

Les armées y apprenent, y testent, y innovent toutes les méthodes qu’elles utiliseront un jour pour contrôler LEUR propre population si jamais les troubles sociaux y devenaient incontrôlables pour le pouvoir en place. “Si” ou “quand” ? Car c’est en effet la question. La crise en est seulement à son commencement.

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