Dans Bastamag, Agnès Rousseaux nous rapporte que “une étude américaine vient de montrer que les processus neuro-biologiques provoqués par la consommation d’une nourriture beaucoup trop riche et par la consommation de drogues dures étaient similaires”. MacDo et heroïne, même combat ?
Quand on se souvient des fabriquants de cigarettes rajoutaient sciemment des produits pour augmenter l’accoutumance à ce qu’ils savaient déjà être un poison, on ne sera guère étonné de voir le cynisme avec lequel les fabricants de cette mal-bouffe vont traiter cette information qu’ils connaissent et exploitent probablement déjà. On parie ?
Et comme une image vaut mieux qu’un long discours, voici les chiffres 🙂