Selon Presseurop.eu « depuis que les autorités ferment les yeux sur la consommation de cannabis, on constate en République tchèque une baisse significative de la consommation de drogues dures. » Au surplus « la maladie de Parkinson (…) peut être traitée avec cette plante. »
A contrario, les éditeurs des revues tchèques qui en font la promotion rappellent elles-mêmes que « l’utilisation de cette drogue avant l’âge de 16 ans est néfaste, qu’elle peut conduire à la psychose chez les adolescents, que dans les plats elle peut être facilement utilisée à trop forte dose, que fumée elle est dangereuse et, comme toute matière organique inhalée, cancérigène. » C’est aussi un psychotrope, certes léger, mais à proscrire pour les personnes souffrant de troubles mentaux. Elle fait cependant largement moins de morts que l’alcool ou la cigarettes (produits, eux, dans nos pays et non dans le tiers-monde. Les uns sont légaux et pas les autres, pourquoi ? 😉 ).
Bref, « ni une panacée ni l’herbe du diable » mais renseignez-vous avant de l’utiliser de la meilleure manière qui soit : en la mangeant, si on en croit ces spécialistes d’un genre qui mènerait droit en prison dans le reste de l’Europe où pourtant un habitant sur dix en consomme au moins occasionnellement.